Grosse punition au gouvernement.
Après les propos de madame Kosciusko-Moriciet : "un concours de lâcheté et d'inélégance entre Jean-François Copé, qui essaie de détourner l'attention pour masquer ses propres difficultés au sein du groupe, et Jean-Louis Borloo, qui se contente d'assurer le minimum".
Celle ci a été sommé par Debeulèf de "présenter des excuses à Jean-Louis Borloo et Jean-François Copé".
Chose qu'elle s'est empressée de faire, disant même que ses propos ont été transformés...
Photo : AFP / "Le Monde" /Patrick Kovarik
Aurait-elle décidé de participer au concours ?
Cela n'a pas empêché Debeulèf de la punir après l'avoir tancé vertement.
Elle n'ira pas au Japon, na !
Pourtant, comme diraient les "Inconnus" Debeulèf n'est "Nippon ni mauvais"
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