Comment ne pas parler d'EADS ?
Où l'on se rend compte qu'il y aurait bien un délit d'initié.
Chose qui ne nous avait jamais traversée l'esprit lorsque l'on a appris que les principaux actionnaires, dont les patrons d'EADS, avaient vendu leurs actions avant la chute de celles-ci... Simple hasard
Pour les syndicats, "c'est un sentiment de colère et d'indignation qui domine à la lecture du rapport alors que nous faisons l'objet d'un plan de suppression de 10 000 emplois en Europe, dont 4 300 en France" (Xavier Petrachi ; CGT Airbus France). C'est un minimum...
10 000 emplois perdus d'un côté,
De l'Autre,
3 millions d'€uros de bénéfice sur la vente au plus haut des actions, plus une prime de licenciement estimée à 6 millions d'€uros, cela fait -si je ne compte pas trop mal- 9 millions d'€uros pour monsieur Forgeard.
Petit dialogue presque faux
J. Chirac : - "Pour quelqu'un qui a réussi à pratiquement couler la boite, 9 millions d'€uros c'est largement raisonable..."
J. Chirac : - "Ah, bon ! Comment ?"
Noël Forgeard : - "En prenant des actions boieng, et puis aussi en négociant un petit pourcentage sur leurs ventes... C'est quand même grâce à moi que Airbus c'est planté dans son programme..."
J. Chirac : -"Pas con !"
Noël Forgeard : -"C'est pour ça que je suis patron !"
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