Eva O'Connell : L'Irlandaise

Patience, patience, patience toujours et encore

samedi 20 février 2010

Bal tragique à Suresne ; Un mort

Y a Pasqua s'Pandraud plafond !

Titre un peu difficile (à comprendre) mais qui résume ce que l'on peut penser de l'axe Pasqua / Pandraud, dans le travail de flicage de la société française jusqu'aux années 80...
Avec le temps et Nic. Sa., on se rend compte que ce n'étaient que des amateurs en fossoyeurs des libertés publiques.

Souvenez vous (entre autres)
Article pris sur : http://flickr.com/photos/stephanemarion/419871317/


Malik Oussekine par STΞPH [OИ & OҒҒ]
"En arrivant dans le Quartier latin, les voltigeurs prennent en chasse les jeunes présumés « casseurs » qu’ils croisent. Malik Oussekine, selon toute vraisemblance étranger au mouvement étudiant, sort de son club de jazz favori. Il est minuit. Des voltigeurs le remarquent et se lancent à sa poursuite. Malik Oussekine court, il croise un homme qui rentre chez lui. L’homme, Paul Bayzelon, fonctionnaire des finances, laisse l’étudiant rentrer dans le hall de son immeuble. Ce dernier se croit à l’abri mais pas pour longtemps. Les policiers qui l’ont suivi rentrent à leur tour. Selon M. Bayzelon, seul témoin du drame, les voltigeurs « se sont précipités sur le type réfugié au fond et l’ont frappé avec une violence incroyable. Il est tombé, ils ont continué à frapper à coups de matraque et de pieds dans le ventre et dans le dos. ». Peu après le Samu arrive sur place. Ils apportent les premiers soins à Malik Oussekine et le transportent à l’hôpital Cochin où il décède. Selon les médecins, l’étudiant meurt autant des suites du passage à tabac par la police que de sa déficience rénale (inconnue des médecins urgentistes). Le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua et son secrétaire d'État, Robert Pandraud, choquent alors l’opinion en ne condamnant pas l’action de la police ce soir-là. "

Pendant ce long silence, beaucoup de gens important sont morts....
Que ce soit dans le cinéma, la littérature, la Bande Dessinée et autre
Je ne les citerai pas, car j'en oublierai...





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