La Obamania continue.
Le poids posé sur la future politique de Barak Obama risque de rendre encore plus dure la désillusion qui va suivre.
Il s'agit de l'élection d'un démocrate américain, pas d'un révolutionnaire.
Le 10 mai 81 avait été aussi une grande manifestation d'espoir et de joie...
Ensuite, il y a deux choses qui me choquent toujours dans les commentaires.
Le premier président noir des Etats-Unis...
D'abord,
Axer sa politique et la résumer au fait qu'il est noir est assez réducteur.
Barak Obama a peut-être plus d'envergure que cela.
Il doit être capable de penser, de prendre des décisions, bref... de diriger le pays (ce qui est déjà un changement énorme avec le précédent).
Son élection m'a enchanté, car cela voulait dire que l'on n'aurait pas la droite extrême, voir l'extrême droite au pouvoir.
Ensuite, dans cette affirmation qu'il est noir...
Il me semble que Barak Obama est un métis, mais personne ne va dire : "Il est blanc"
Cela voudrait-il dire qu'être blanc demande une "pureté" totale du sang ?
Qu'on ne peut être blanc, que si nous avons 100%100 de sang blanc ?
Il y a là une dérive que peu de gens perçoivent, et que beaucoup relaient.
BArak Obama est métis et tant mieux... Cela prouve que le métissage, à tout les niveaux- est une source de richesse.
Et puis, ad fine, blanc ou noir, j'en ai rien à faire.
C'est la politique qu'il va mener qui m'intéresse.
Aujourd'hui rien de méchant sur Sarkozy.
Juste son nom, afin que l'autre Nicolas, le petit -encore- Nicolas Princen, chargé par le petit -toujours- Nicolas Sarkozy, ne soit pas réduit au chomage et continue sa surveillance du Net.
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