Allez... c'est encore un peu les vacances !!! La vraie rentrée sera pour le trois septembre....
Dur, dur... Heureusement que nos représentant(e)s politiques sont toujours là à veiller sur nous l'été.
Et en avant pour les universités d'été du Parti socialiste
Comme le dit Rémi Lefebvre -professeur de sciences politiques à l'université de Reims-
"Que tout change pour que rien ne change" : la formule de Tancrède dans Le Guépard, de Visconti" s'applique magnifiquement bien à ce parti qui va, comme après chaque grande défaite, se tourner vers ses militants et les écouter.
Puis, quand les choses auront repris leur place il fera à nouveau appel à des Séguela qui vendront très cher des slogans faciles tout en buvant le champagne avec Sarkozy.
Les militants ne seront là que pour coller les affiches et distribuer les tracts ; le reste se passera dans d'autres sphères...
Sera revenu alors le temps des éléphants (les nouveaux éléphants)
Pendant ce temps...les vieux solitaires non loin du cimetière du même nom -pas solitaire ; éléphants-, s'en vont en voulant casser la machine.
"Puisqu'ils ne m'ont pas laissé accéder à la meilleure place, personne ne deviendra calife à la place de... moi-même qui aurait dû l'être..."
Comme le dit Rémi Lefebvre -professeur de sciences politiques à l'université de Reims-
"Que tout change pour que rien ne change" : la formule de Tancrède dans Le Guépard, de Visconti" s'applique magnifiquement bien à ce parti qui va, comme après chaque grande défaite, se tourner vers ses militants et les écouter.
Puis, quand les choses auront repris leur place il fera à nouveau appel à des Séguela qui vendront très cher des slogans faciles tout en buvant le champagne avec Sarkozy.
Les militants ne seront là que pour coller les affiches et distribuer les tracts ; le reste se passera dans d'autres sphères...
Sera revenu alors le temps des éléphants (les nouveaux éléphants)
Pendant ce temps...les vieux solitaires non loin du cimetière du même nom -pas solitaire ; éléphants-, s'en vont en voulant casser la machine.
"Puisqu'ils ne m'ont pas laissé accéder à la meilleure place, personne ne deviendra calife à la place de... moi-même qui aurait dû l'être..."
2 commentaires:
oui, le problème chez les politiques, c'est cette incapacité à se retirer
c'est le syndrome de l'homme providentiel sans qui les choses ne peuvent pas se faire...Et ils sont nombreux au club...
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